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#LEREPLAY : La chaine Nolife n’a pas disparu… mais se sépare du jeu vidéo…

Il y a presque 1 an, jour pour jour, que sur Krozmotion on publie un #LEREPLAY sur la fin de la chaine, si elle n’était pas placée en redressement judiciaire, la chaine Nolife qui depuis maintenant 8 diffuse des contenus sur les mangas, l’animation, la musique japonaise, mais aussi les jeux vidéo, les jeux de rôle, les figurines, tout l’univers des otakus. Elle est depuis le début de l’année en redressement, mais ce redressement n’a pas suffi à Nolife à gérer son financement, notamment des projets en partenariat avec d’autres qui n’ont pas était fait ou annulé. Aujourd’hui la chaine se sépare de son équipe jeu vidéo.

REVOIR L’ÉMOUVANT MESSAGE DE SÉBASTIEN RUCHET (NOLIFE) A ANTHONY ROUX (ANKAMA)

« Au cours d’un canular organisé le vendredi 13 juin 2008, Sébastien Ruchet annonce « officiellement » la fin de la chaîne à l’antenne, pour des raisons financières, déjà évoquées à plusieurs reprises depuis la naissance de la chaine. Cette annonce est suivie d’un reportage « Making-Of », expliquant l’histoire de la chaîne et les difficultés rencontrées. Au bout de ce reportage, un arrêt de la diffusion. Au bout de quelques secondes, un son de pièce insérée dans la machine se fait entendre et un crédit supplémentaire s’affiche, signifiant le début d’une nouvelle partie. La diffusion reprend alors avec la suite du reportage. Les membres de la chaîne expliquent que la chaîne ne met pas la clef sous la porte car elle a trouvé un nouveau partenaire de financement pour continuer ses activités, la société Ankama. « Ankama sauve Nolife, ni plus ni moins. » (Alex Pilot, directeur des programmes de la chaîne) La chaîne profite de ce moment de répit pour se développer et pour déménager dans de plus grands locaux, fournis par Ankama.»

Depuis 2008, Ankama est rentré dans la capitale de la chaine (à hauteur de 49% (?)), début 2015, Ankama a encore sauvé Nolife qui a pourtant de la publicité, mais pas assez pour survivre. La conjoncture actuelle est d’autant plus agressive avec la baisse de prix de la publicité et que le public se déleste de la télévision.

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